Au cours des deux dernières décennies, Djibouti a fait des progrès considérables dans le renforcement de son capital humain. Le capital humain d’un pays correspond à l’ensemble des connaissances, compétences et conditions de santé que les individus accumulent tout au long de leur vie et qui leur permettent de s’épanouir pleinement en devenant des membres productifs de la société. Malgré ces avancées, l’indice du capital humain de la Banque mondiale constate qu’un Djiboutien né en 2022 n’atteindra que 41 % de son potentiel productif à l’âge de 18 ans, et que 59 % des talents de Djibouti restent inexploités. Cette vidéo retrace le parcours de Houmed et Amina, deux enfants qui vivent les mêmes aspirations et difficultés que de nombreux enfants à Djibouti. Toutes les études mondiales prouvent que l’augmentation des investissements dans les premières années de vie d’un individu est le meilleur moyen de renforcer le capital humain d’un pays et de créer un cercle vertueux pour le bien-être, la productivité et l’avenir de ces citoyens et des futures générations.