WASHINGTON, 13 janvier 2018 – Le Groupe de la Banque mondiale a publié aujourd’hui la déclaration suivante :
« Depuis sa création il y a 15 ans, l’indice Doing Business a permis de suivre l’évolution de plusieurs milliers de réformes sur l’environnement des affaires, et constitue, en cela, un instrument précieux et essentiel pour les pays soucieux de faciliter l’activité des entreprises. Le rapport Doing Business a connu plusieurs révisions (internes et externes [a]) au fil des années, et nous nous employons constamment à affiner et consolider sa méthodologie.
Il est important de souligner que tous les pays étudiés dans le rapport font l’objet d’un traitement égal. Les indicateurs et la méthodologie utilisés ne sont pas conçus en fonction d’un pays en particulier, mais ont au contraire vocation à améliorer l’environnement des affaires en général. Chacune des modifications apportées à la méthodologie (a) donne lieu à un processus de consultation rigoureux, au cours duquel les Administrateurs et les personnels du Groupe de la Banque mondiale, tout comme les représentants des pays, les professionnels du développement et les chercheurs, sont invités à faire part de leurs observations. Les indicateurs sont soumis à une validation interne et externe, et reposent sur des données factuelles, telles que les taux d’imposition et les législations nationales adoptées dans chaque pays. Ces données objectives excluent toute interférence politique.
À la suite des questions soulevées dans la presse par l’économiste en chef de la Banque mondiale, Paul Romer, et conformément à notre attachement aux devoirs d’intégrité et de transparence, nous procéderons à un examen indépendant des indicateurs fournis par le rapport Doing Business pour le Chili. »
Pour en savoir plus sur l’indice Doing Business, rendez-vous sur : francais.doingbusiness.org.