La dette des économies émergentes et en développement atteint des niveaux record depuis le début de la pandémie de COVID-19 mais les systèmes de suivi mondial et pays par pays sont parfaitement inadaptés, selon une nouvelle analyse du Groupe de la Banque mondiale.
Dette élevée et opacité autour de l’endettement sont étroitement liées dans les pays pauvres. Les responsables politiques ne peuvent plus se permettre de tolérer l’une et l’autre de ces situations. Le rapport de la Banque mondiale constitue la première évaluation exhaustive de la transparence de la dette jamais réalisée dans ces pays — et définit une feuille de route pour améliorer la transparence en matière d’endettement. Participez à la discussion en ligne et en direct.
- David R. Malpass, président, Groupe de la Banque mondiale
- Carmen M. Reinhart, vice-présidente et économiste en chef du Groupe de la Banque mondiale (@carmenmreinhart)
- Lee C. Buchheit, professeur honoraire, faculté de droit de l’université d’Édimbourg
- Joyce Chang, directrice générale et responsable de la recherche de J.P. Morgan
- Paul Gruenwald, économiste en chef monde, S&P Global Ratings