Les besoins de l’Afrique subsaharienne en infrastructures sont estimés à 100 milliards de dollars par an. Si l’investissement privé est dynamique, l’Afrique du Sud se taillant la part du lion de fonds principalement consacrés aux télécommunications, le déficit de financement atteint 31 milliards de dollars. L’un des obstacles majeurs à l’investissement réside, selon les analystes, dans le degré élevé du risque perçu. Dans ces conditions, est-il possible d’atténuer les risques associés à l’investissement dans l’infrastructure en Afrique ? Ces risques sont-ils réels ? Qui sont les nouveaux investisseurs en Afrique ? Enfin, que peuvent/doivent faire les banques pour doper l’investissement dans la région ? Autant de questions qui seront au cœur des discussions animées par un panel d’acteurs éminents : promoteurs de projets, représentants du secteur bancaire, investisseurs, responsables politiques et partenaires de développement.
Participants
Co-Chairs:
- Donald Kaberuka, Président, Banque africaine de développement
- Makhtar Diop, vice-président, Banque mondiale, région Afrique
Modérateur:
- Hubert Danso, Directeur général et vice-président, Africa investor
Panelists:
- Uche Orji, CEO, Nigeria Sovereign Investment Authority
- Phuti Mahanyele, CEO, Shanduka Group
- Tshepo Mahloele, CEO, Harith GP; Fund Manager, Pan Africa Infrastructure Development Fund
- Helen Tarnoy, Fondateur & directeur, Aldwych International
- Mahesh K. Kotecha, Président et fondateur, Structured Credit International Corp. (SCIC)