Lorsque les femmes et les filles bénéficient d’opportunités équivalentes, c’est la société toute entière qui est gagnante. À travers le continent africain, les femmes et les filles ont soif d’apprendre. Elles rêvent d’un avenir meilleur pour poursuivre leurs études, rester en bonne santé, trouver du travail, tout en prenant soin de leurs familles.
Selon les recherches de la Banque mondiale, rien qu’au Nigéria, 9,3 milliards de dollars pourraient être générés si l’écart entre les genres était comblé dans les principaux secteurs économiques. Ainsi de nombreux pays de la région prennent des mesures en faveur de l’inclusion politique et économique des femmes. Le dernier rapport de la Banque mondiale sur Les Femmes, l’Entreprise et le Droit souligne que l’Afrique subsaharienne poursuit son train de réformes pour combler les inégalités juridiques, mais qu’un important écart subsiste entre les lois sur le papier et la réalité sur le terrain.
S’il n’est plus nécessaire d’apporter les preuves en faveur de l’égalité entre les sexes, les parcours individuels et les histoires de celles et ceux qui œuvrent pour le changement sont une véritable source d’inspiration.
Alors, découvrez le parcours d’Aissata Tidiane Touré, une jeune ingénieure en construction et co-fondatrice du Club des jeunes filles leaders en Guinée ; celui de Daagbo Hounon Houna II, roi béninois des Mers et des Océans et chef spirituel ; ainsi que d’autres défenseurs du pouvoir des filles.
Les cinq témoignages de changement qui suivent, mettent en lumière l’impact profond et la force du plaidoyer des femmes et des filles dans la région, au sein de leurs communautés et plus largement, pour leurs pays et leurs économies.